• — O mon Jésus, venez dans mon pauvre cœur ! Je Vous désire : ne tardez pas. Venez m’enrichir de Vos grâces, augmentez en moi votre saint et divin amour. Unissez-moi à Vous ! Cachez-moi dans votre Côté sacré ! Je n’aime que Vous. Je n’aime que Vous, je ne veux que Vous, je ne désire que Vous. Je vous rends grâce, Père éternel, pour nous avoir donné Jésus au très Saint-Sacrement. Je vous remercie, mon Jésus, et, enfin, je Vous demande votre sainte bénédiction.

    — O mon Jésus, venez dans mon pauvre cœur !

    "Miettes" spirituelles tirées des écrits de la bienheureuse Alexandrina de Balasar.



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  • Seigneur, elle est terriblement forte la tentation
    De se croire meilleur que les autres,

    Surtout quand je m’accroche, dure comme pierre,
    Au fait que j’ai accepté de te suivre,
    Et donc, je suis à l’abri et conforté dans mes convictions.
    Heureusement que tu viens déciller mes yeux
    En me rappelant que je dois vivre en disci
    ple
    En montrant de la tolérance et en accueillant l’autre.
    Seigneur, elle est bien présente au quotidien,
    L’œuvre d’amour envers le prochain quel qu’il soit.
    Elle se traduit par le rejet de tout scanda
    le,
    De toute attitude contraire à ton enseignement.
    Donne-moi de savoir vivre en disciple attentif,
    En offrant le verre d’eau de la fraternité,
    Pour recueillir les fruits de ta reconnaissance,
    Et me garder dans l’humilité du serviteur.


    Seigneur, je te demande de me pardonner

    Pour toutes les fois où je n’ai pas su aimer en vérité.
    Remplis mon cœur du désir ardent et sincère
    D’accomplir de mon mieux la mission confiée.

    Que je ne sois jamais une occasion de chute
    Pour celles et ceux que tu mets sur ma route.
    Ainsi je pourrai vivre en disciple, heureux et pacifié,
    Grâce à l’Esprit qui éclaire mes actes et mes paroles,
    Me donnant la force de pratiquer le partage et la miséricorde.


    (P. Serge CYRILLE, pour le Dimanche 30 Septembre 2012)

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  • Sur cette terre, en ce siècle que l’on nomme l’âge de l’anxiété, ceux qui se sont convertis et sont devenus comme de petits enfants peuvent se reposer, pendant que le torrent impétueux déferle sur eux. Ils sont assis dans les lieux célestes et n’ont plus à redouter le torrent.
    Ils peuvent même avancer avec lui sans se préoccuper de ce qui peut survenir au cours du trajet. Dieu a accompli une œuvre complète, et ceux qui entrent dans son pays pour y travailler trouvent un plein repos.
    [Eugenia Price]

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