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    Voici que ton roi vient à toi. À l’orée de la Semaine sainte, l’entrée triomphale du Christ à Jérusalem nous fait signe vers la victoire pascale et nous rappelle que participer à cette victoire suppose de passer par la mort de l’homme ancien avec ses convoitises. Alors, choisissons de laisser le Christ exercer en nos coeurs son humble royauté. ....


      .... Vers la semaine sainte

     


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  • Tout en douceur

    Publié le 19/03/2012 à 09:34 par parolepourlaroute
    Bonjour ... Bonne semaine à Vous

    pour une

     

    Seigneur, Apprends-moi la douceur,
    cette vertu aimable dans les peines
    comme dans les joies,
    dans l’amitié blessée
    comme dans la fidélité heureuse.


    Ouvre-moi les yeux,
    Ouvre-moi le cœur,
    pour que je puisse voir et aimer
    tous ceux et celles, que je rencontre,
    et qui auraient besoin
    de mon amitié, de mon sourire.


    Inspire-moi la douce parole
    qui ranime, qui relève, qui console
    qui encourage, qui fortifie.
    Aide-moi à fermer les yeux 
    devant toutes ingratitude,
    à donner sans recevoir,
    à m’oublier moi-même 
    pour ne penser qu’au bonheur des autres,
    à garder pour moi mes chagrins 
    et mes soucis pour ne pas en faire un fardeau pour autrui.


    Apprends-moi la bienveillance qui voit le bien avant tout,
    la patience qui sait attendre et pardonner,
    la prévenance attentive qui court au-devant
    des désirs et devance les demandes.
    Fais que mon influence entraine`
    à la vérité, à la bonté et à la beauté,
    ceux et celles qui font route avec moi sur le chemin.
    Que ma vie, unie à la tienne, témoigne de ton bonheur.
    Amen.

    (auteur Didier Paravel)

     


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  • Seigneur, merci pour Ton PARDON, Tu es un Dieu d'Amour, Tu nous pardonnes tous les jours...Et Tu nous recommandes de faire comme Toi! Nous n'arrivons pas toujours à pardonner, surtout si on pense que l'autre a tort. Mais aujourd'hui Seigneur, je décide de pardonner à tous ceux qui m'ont fait mal.


    S'il est dur de le faire pour certains cas, j'implore le Saint-Esprit, afin qu'Il m'aide car je veux vraiment T'obéir!

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    Méditations "vidéo" "Les sept dernières Paroles du Christ sur la croix "

    Quand ils furent venus au lieu appelé râne, ils le crucifièrent là, ainsi que les malfaiteurs, l'un à la droite, l'autre à la gauche. Jésus dit : Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu'ils font. Et ayant fait le partage de ses vêtements, ils tirèrent au sort. Et le peuple se tenait là, regardant ; et les gouverneurs aussi se raillaient de lui avec eux, disant : Il a sauvé les autres ; qu'il se sauve lui-même, si lui est le Christ, l'élu de Dieu. Et les soldats aussi se moquaient de lui, s'approchant, et lui présentant du vinaigre, et disant : Si toi, tu es le roi des Juifs, sauve-toi toi-même.
    (Luc 23:33-37)
     

    Alors même que les clous transpercent ses mains (à hauteur des poignets) et ses pieds, il intervient en faveur de ceux qui lui font ce mal, ceux qui l'ont conduit dans l'humiliation la plus profonde, lui, le "juste". Jésus, le Fils de l'homme, est seul à pouvoir prononcer cette prière sublime... Mais, si la crucifixion de Jésus a montré toute la méchanceté humaine, elle a aussi démontré dans son absolu l'amour divin : l'amour du Père qui donne le Fils pour le salut de tous ceux qui croient en lui, l'amour du Fils qui se donne volontairement pour des coupables.

    Jésus ne crie pas “vengeance”; il ne réclame pas un jugement sans pitié pour ses ennemis (ce qui aurait été compréhensible; il aurait pu se baser sur la loi du talion de l’AT : oeil pour oeil, dent pour dent). Jésus agit différemment, il nous surprendra toujours.
     

    Il n’est pas venu pour indiquer le chemin du salut à ses seuls amis; il veut que tous les hommes soient sauvés, même ses pires ennemis :
    - ceux qui l’ont torturé,
    - ceux qui se moquent de lui
    - ceux qui lui enjoignent :“descends de ta croix, sauve-toi toi-même...”

     

    • “Père pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font...” Bien sûr, ils n’ont pas conscience de qui est Jésus réellement - les soldats romains ne font que leur sale boulot, les chefs du peuple sont soulagés parce qu’ils ont éliminé un dangereux blasphémateur - tout le monde croit bien faire dans cette histoire...

     

    Ils ne pouvaient reconnaître leur faute, ils n’ont pas conscience de la gravité de leur acte : même s’ils disent dans leurs moqueries “si tu es le Christ, le Messie”... Mais crucifier Jésus, c’est s’attaquer et se révolter contre Dieu lui-même.

    Cela Jésus le sait et il pardonne. Il ne plaide pas pour des circonstances atténuantes - il ne les place pas sous le juste jugement de Dieu, mais sous sa patience, sous sa grâce. Il les sait coupables; il nous sait coupables aussi, mais dans son amour il ne peut que pardonner, accorder une nouvelle chance. Quel Sauveur merveilleux ! La croix révèle
    notre péché, mais aussi l’amour profond de Jésus pour chacun de nous.

    " Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font "

    N'attendons pas d'être parfaits pour venir vers  Jésus et vers le Père car nous ne le seras jamais sur cette terre. Par son Fils Jésus, Le Père nous a envoyé Son Esprit de Force, de Conseil, d'Intelligence qui est l'Amour même ! Alors n'ayons pas peur, car en donnant notre cœur à son Fils Jésus, nous accueillons aussi l'Esprit Saint , la Force d'Amour! La Trinité d'AMOUR nous habille donc de sa Grâce!  Nous sommes alors bénis et  capables d'aimer tous ceux avec qui nous vivons, et de leur pardonner, comme  Jésus l'a fait sur la croix : tout sera fait selon notre Foi et notre désir d'aimer et de pardonner à l'imitation de Jésus Christ !
     

    Je dépose maintenant le fardeau de mes peurs, mes angoisses, de mes maladies, douleurs, souffrances, péchés au pied de la croix du Christ ressuscité. Alors avec Jésus, moi aussi, je veux me fondre dans son amour qui pardonne et devenir un être nouveau, un chrétien ressuscité, plein de vie, de paix, de joie, d'amour.  Alors seulement je serais un vrai témoin du Christ ressuscité

    Alors je Pardonne à celui ou celle qui m'a blessé et je ne cesse de le bénir
    je Prie pour ceux qui m'ont insulté, rejeté , abandonné
      Je Bénis ceux qui m'ont maudit et qui ne m'aiment pas

    et j'entends Jésus me souffler au coeur
    Aime-toi comme je t'aime, afin de pouvoir aimer les autres 

    Pardonne comme je te pardonne et tu seras guéris


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  • Le premier janvier n'est pas seulement,  pour nous chrétiens,
    "le jour de l'an", le jour des vœux, des visites : huit jours après la naissance de Jésus,  l'Église nous invite à célébrer sa Mère. Nous sommes là, sous le regard de Marie, Mère de Dieu et notre mère, pour remettre cette nouvelle année au Père,   au Fils et au Saint-Esprit. Que soient avec nous tous – au long de cette année -  la grâce de Jésus, notre Seigneur, l'amour de Dieu le Père et la communion de l'Esprit Saint.
    Béni soit Dieu, maintenant et toujours ! Jour de l'an Avec maman Marie

     


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  • 1ère lecture : Dieu exige qu'on aime les pauvres (Ex 22, 20-26)

    Lecture du livre de l'Exode

    Quand Moïse transmettait au peuple les lois du Seigneur, il disait : « Tu ne maltraiteras point l'immigré qui réside chez toi, tu ne l'opprimeras point, car vous étiez vous-mêmes des immigrés en Égypte. Vous n'accablerez pas la veuve et l'orphelin. Si tu les accables et qu'ils crient vers moi, j'écouterai leur cri. Ma colère s'enflammera et je vous ferai périr par l'épée : vos femmes deviendront veuves, et vos fils, orphelins.

    Si tu prêtes de l'argent à quelqu'un de mon peuple, à un pauvre parmi tes frères, tu n'agiras pas envers lui comme un usurier : tu ne lui imposeras pas d'intérêts. Si tu prends en gage le manteau de ton prochain, tu le lui rendras avant le coucher du soleil. C'est tout ce qu'il a pour se couvrir ; c'est le manteau dont il s'enveloppe, la seule couverture qu'il ait pour dormir. S'il crie vers moi, je l'écouterai, car moi, je suis compatissant ! »

    Psaume : 17, 2-3, 4.20, 47.51ab

    Je t'aime, Seigneur, Dieu qui me rends fort !

    Je t'aime, Seigneur, ma force :
    Seigneur, mon roc, ma forteresse,
    Dieu mon libérateur, le rocher qui m'abrite,
    mon bouclier, mon fort, mon arme de victoire !

    Louange à Dieu ! Quand je fais appel au Seigneur,
    je suis sauvé de tous mes ennemis.
    Et lui m'a dégagé, mis au large,
    il m'a libéré, car il m'aime.

    Vive le Seigneur ! Béni soit mon Rocher !
    Qu'il triomphe, le Dieu de ma victoire,
    Il donne à son roi de grandes victoires,
    il se montre fidèle à son messie pour toujours.

    2ème lecture : L'annonce de l'Évangile et la conversion (1Th 1, 5-10)

    lecture de la première lettre de saint Paul Apôtre aux Thessaloniciens

    Frères,
    vous savez comment nous nous sommes comportés chez vous pour votre bien. Et vous, vous avez commencé à nous imiter, nous et le Seigneur, en accueillant la Parole au milieu de bien des épreuves avec la joie de l'Esprit Saint. Ainsi vous êtes devenus un modèle pour tous les croyants de Macédoine et de toute la Grèce. Et ce n'est pas seulement en Macédoine et dans toute la Grèce qu'à partir de chez vous la parole du Seigneur a retenti, mais la nouvelle de votre foi en Dieu s'est si bien répandue partout que nous n'avons plus rien à en dire. En effet, quand les gens parlent de nous, ils racontent l'accueil que vous nous avez fait ; ils disent comment vous vous êtes convertis à Dieu en vous détournant des idoles, afin de servir le Dieu vivant et véritable, et afin d'attendre des cieux son Fils qu'il a ressuscité d'entre les morts, Jésus, qui nous délivre de la colère qui vient.

    Evangile : Amour de Dieu et amour du prochain (Mt 22, 34-40)

     

    Acclamation : Alléluia. Alléluia. Dieu est amour. Celui qui aime est né de Dieu : il connait Dieu. Alléluia. (1 Jn, 8.7)

     

    Evangile de Jésus Christ selon saint Matthieu

    Les pharisiens, apprenant que Jésus avait fermé la bouche aux sadducéens, se réunirent, et l'un d'entre eux, un docteur de la Loi, posa une question à Jésus pour le mettre à l'épreuve : « Maître, dans la Loi, quel est le grand commandement ? » Jésus lui répondit : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton coeur, de toute ton âme et de tout ton esprit. Voilà le grand, le premier commandement. Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Tout ce qu'il y a dans l'Écriture - dans la Loi et les Prophètes - dépend de ces deux commandements. »

    aelf.org

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  • Gloire à toi, Seigneur des anges,
    Pour leur beauté où se déploient
    La splendeur de ta présence
    Et l'écho de ta voix.
    Dans l'éclosion de leur louange,
    Ils s'élancent près de toi.


    Ils jouaient dans ton aurore
    Avant que lève notre jour,
    L'univers n'était encore
    Qu'un projet de l'amour.
    Ils adoraient le Fils de l'homme
    Au sommet de leur parcours.


    Frémissant devant ta face,
    À pleine joie ils crient ton nom.
    Que l'un d'eux descende et passe
    Nous toucher d'un tison :
    Alors nos lèvres rendront grâce,
    Purifiées par le pardon.


    Quelle paix, sinon la tienne,
    Tes messagers annoncent-ils
    Dans leurs chants qui nous reprennent
    À la nuit de l'exil ?
    La porte s'ouvre, ils nous entraînent
    Jusqu'à l'arbre de la vie.


    1ère lecture : La lutte de Michel contre le dragon (Ap 12, 7-12a)


    Lecture de l'Apocalypse de saint Jean

    Il y eut un combat dans le ciel : celui de Michel et de ses anges contre le Dragon.
    Le Dragon, lui aussi, combattait avec l'aide des siens, mais ils furent les moins forts et perdirent leur place dans le ciel.
    Oui, il fut rejeté, le grand Dragon, le serpent des origines, celui qu'on nomme Démon et Satan, celui qui égarait le monde entier. Il fut jeté sur la terre, et ses anges avec lui.
    Alors j'entendis dans le ciel une voix puissante, qui proclamait : « Voici maintenant le salut, la puissance et la royauté de notre Dieu, et le pouvoir de son Christ ! Car l'accusateur de nos frères a été rejeté, lui qui les accusait jour et nuit devant notre Dieu.
    Et eux, ils l'ont vaincu par le sang de l'Agneau et le témoignage de leur parole. Dépassant l'amour d'eux-mêmes, ils sont allés jusqu'à la mort.
    Ciel, sois donc dans la joie, ainsi que vous tous qui demeurez aux cieux. »

    Psaume : 137, 1-2a, 2bc-3, 4-5

    R/ Je chanterai le Seigneur, en présence des anges.

    De tout mon coeur, Seigneur, je te rends grâce :
    tu as entendu les paroles de ma bouche.
    Je te chante en présence des anges, 

    vers ton temple sacré, je me prosterne.

    Je rends grâce à ton nom pour ton amour et ta vérité,
    car tu élèves, au-dessus de tout, ton nom et ta parole. 

    Le jour où tu répondis à mon appel,
    tu fis grandir en mon âme la force. 


    Tous les rois de la terre te rendent grâce
    quand ils entendent les paroles de ta bouche. 

    Ils chantent les chemins du Seigneur :
    « Qu'elle est grande, la gloire du Seigneur ! »

    Evangile : « Vous verrez les anges de Dieu » (Jn 1, 47-51)

     

    Acclamation : Alléluia. Alléluia. Tous les anges du Seigneur, bénissez le Seigneur : à lui, haute gloire, louange éternelle ! Alléluia. (Dn 3, 58)

     

    Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

    Lorsque Jésus voit Nathanaël venir à lui, il déclare : « Voici un véritable fils d'Israël, un homme qui ne sait pas mentir. »
    Nathanaël lui demande : « Comment me connais-tu ? » Jésus lui répond : « Avant que Philippe te parle, quand tu étais sous le figuier, je t'ai vu. »
    Nathanaël lui dit : « Rabbi, c'est toi le Fils de Dieu ! C'est toi le roi d'Israël ! »
    Jésus reprend : « Je te dis que je t'ai vu sous le figuier, et c'est pour cela que tu crois ! Tu verras des choses plus grandes encore. »
    Et il ajoute : « Amen, amen, je vous le dis : vous verrez les cieux ouverts, avec les anges de Dieu qui montent et descendent au-dessus du Fils de l'homme. »

    aelf.org

     

     

    Les saints Archanges de Dieu

     

    En cette fête des saints Archanges, je suis dans l'émerveillement devant tant de bonté de la part du Seigneur. « Dieu a tant aimé les hommes qu'Il nous a envoyé son Fils unique », nous dit Jean; mais Dieu nous a aussi envoyé des amis célestes pour nous aider en certaines circonstances. Combien Dieu tient à notre bien-être, à notre joie, à notre sainteté qu'est le bonheur éternel en sa présence ! S'il nous appelle à la confiance filiale, à l'abandon jusqu'à la dépendance sur cette terre, Il assure lui-même les moyens pour que nous y parvenions. Et cela m'émerveille toujours. Avec mes lunettes de Miséricorde, je pourrais dire que les Archanges sont des messagers de sa Miséricorde.  

     

    Je crois que Dieu envoie encore cette aide précieuse du ciel par l'intermédiaire des hommes et des femmes que nous appelons volontiers des anges. Je pense à toutes les petites sœurs de Mère Teresa et à tous ceux qui font un ministère semblable auprès des pauvres : de vrais Raphaël. Je pense à tous ceux qui annoncent la bonne nouvelle, comme notre pape, et aussi comme le cardinal Ouellet qui nous a expliqué le mystère de l'Eucharistie : ils sont Gabriel portant l'annonce du ciel. Enfin, je pense à tous ces défenseurs des sans voix, des plus petits, à tous ceux qui œuvrent dans des ONG, à tous ces prêtres qui passent des heures à rencontrer, à écouter et à confesser ceux qui ont mal... de vrais Michel, prêts à combattre.

     

    Dieu nous aime en ses saints Archanges. 

    messagelumière .org

    ------------------------------------------------

     

    Commentaire: REDACTION evangeli.net (réalisé à partir de textes de Benoît XVI) (Città del Vaticano, Saint-Sige)

     

    Les Saints Archanges Michel, Gabriel, Raphaël

    Aujourd'hui, en célébrant les Archanges, nous "voyons" le ciel. Un ange est une créature qui est dans la présence de Dieu. Les trois noms des Archanges —Michel, Gabriel, Raphaël— finissent avec le mot "El" que signifie "Dieu". Ainsi donc, Dieu est inscrit dans ses noms, dans sa nature. Son être est d'être "en Lui" et "pour Lui". De plus, ils sont ses "messagers": ils portent Dieu aux hommes; ils ouvrent le ciel et, ainsi, ouvrent la terre.

    Michel défend la cause de l'unicité de Dieu ( Dieu seul est Dieu) contre la présomption du "dragon" qui essaie de le discréditer continuellement devant les hommes et, de plus, nous protège. Gabriel est le messager de l'incarnation de Dieu : il sonne au seuil de Marie et, à travers de lui, le Dieu même demande à Marie son "oui". Raphaël se présente à nous comme l'ange à qui est recommandée la mission de guérir la "cécité" du divin, causée par le matérialisme.

    —Saints Archanges, défendez-nous pour que nous puissions rester dans l'amour de Dieu.

     ------------------------------------------

     

    «Les Anges président aux prières des humbles fidèles. Que les Anges aient cette place auprès de nous, c’est un dogme de notre foi. » (St Hilaire)

     

     

    « Chacun de nous, même le plus petit dans l’Eglise de Dieu, A après de lui un Ange bon, un Ange du Seigneur, qui le conduit, l’inspire, le gouverne et qui sans cesse, pour corriger nos actes ou pour nous obtenir miséricorde, se tient devant Dieu. » (Origène)

     

    « Nous devons avoir pour nos frères
    un zèle semblable

    à celui que les Anges ont pour nous »
    (St Grégoire)

     

     

    « Vous aussi, vous pouvez mériter, si vous le voulez, ce nom sublime d’ange de Dieu… Et ne dites pas : je ne sais pas, je ne sais pas avertir, encourager… Dans la mesure où vous avancez, entraînez les autres avec vous ; désirez d’avoir des compagnons dans la voie de Dieu…

     

    Si vous allez à Dieu, n’y allez pas seul… Vous aimez vos frères : vous souffrez de n’avoir que du pain à leur donner mais vous avez mieux que du pain, vous avez la parole qui nourrira leur âme immportelle. Et alors vous mériterez le nom d’anges. » (St Grégoire)



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  • Lecture du livre de Néhémie (2,1-8.)





    Moi, Néhémie, j'étais alors échanson royal. La vingtième année du règne d'Artaxerxès, au mois de Nizan, je présentai le vin et l'offris au roi. Je n'avais jamais montré de tristesse devant lui,
    mais ce jour-là, le roi me dit : « Pourquoi ce triste visage ? Tu n'es pourtant pas malade ! Tu as donc du chagrin ? » Rempli de crainte, je répondis :
    « Que le roi vive toujours ! Comment n'aurais-je pas l'air triste, quand la ville où sont enterrés mes pères a été dévastée, et ses portes, dévorées par le feu ? »
    Le roi me dit alors : « Que veux-tu donc me demander ? » Je fis une prière au Dieu du ciel, et je répondis au roi :
    « Si tel est le bon plaisir du roi, et si tu es satisfait de ton serviteur, laisse-moi aller en Juda, dans la ville où sont enterrés mes pères, et je la rebâtirai. »
    Le roi, qui avait la reine à côté de lui, me demanda : « Combien de temps durera ton voyage ? Quand reviendras-tu ? » Je lui indiquai une date qu'il approuva, et il m'autorisa à partir.
    Je dis encore : « Si tel est le bon plaisir du roi, qu'on me donne des lettres pour les gouverneurs de la province qui est à l'ouest de l'Euphrate, afin qu'ils facilitent mon passage jusqu'en Juda ;
    et aussi une lettre pour Asaph, l'inspecteur des forêts royales, afin qu'il me fournisse du bois de charpente pour les portes de la citadelle qui protégera le Temple, les portes de la ville, et la maison où je vais m'installer. » Le roi me l'accorda, car la protection de mon Dieu était sur moi.




    Psaume 137 (136)


    Que ma langue s'attache à mon palais si je t'oublie, Jérusalem !


    Au bord des fleuves de Babylone
    nous étions assis et nous pleurions,
    nous souvenant de Sion ;
    aux saules des alentours
    nous avions pendu nos harpes.

    C'est là que nos vainqueurs
    nous demandèrent des chansons,
    et nos bourreaux, des airs joyeux :
    « Chantez-nous, disaient-ils,
    quelque chant de Sion. »

    Comment chanterions-nous
    un chant du Seigneur
    sur une terre étrangère ?
    Si je t'oublie, Jérusalem,
    que ma main droite m'oublie !

    Je veux que ma langue
    s'attache à mon palais
    si je perds ton souvenir,
    si je n'élève Jérusalem,
    au sommet de ma joie.


      

    Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (9,57-62.)





    En cours de route, un homme dit à Jésus : « Je te suivrai partout où tu iras. »
    Jésus lui déclara : « Les renards ont des terriers, les oiseaux du ciel ont des nids ; mais le Fils de l'homme n'a pas d'endroit où reposer la tête. »
    Il dit à un autre : « Suis-moi. » L'homme répondit : « Permets-moi d'aller d'abord enterrer mon père. »
    Mais Jésus répliqua : « Laisse les morts enterrer leurs morts. Toi, va annoncer le règne de Dieu. »
    Un autre encore lui dit : « Je te suivrai, Seigneur ; mais laisse-moi d'abord faire mes adieux aux gens de ma maison. »
    Jésus lui répondit : « Celui qui met la main à la charrue et regarde en arrière n'est pas fait pour le royaume de Dieu. »





    Commentaire du jour

    « Le Fils de l'homme n'a pas d'endroit où reposer la tête>




    Ô Dame Pauvreté, le fils du Père souverain « est devenu amoureux de ta beauté » (Sg 8,2)..., sachant que tu serais sa plus fidèle compagne. Avant qu'il ne descende de sa patrie lumineuse, c'est toi qui lui a préparé un endroit convenable, un trône où s'asseoir, un lit où se reposer : la Vierge très pauvre, de qui il est né. Dès sa naissance tu as été à son chevet ; on l'a déposé « dans une mangeoire, parce qu'il n'y avait pas de place à l'hôtellerie » (Lc 2,7). Et tu l'as accompagné toujours, tant qu'il était sur terre : « Les renards avaient leurs tanières, les oiseaux leurs nids, mais lui n'a pas eu de lieu où reposer sa tête ». Quand il s'est mis à enseigner lui-même, après avoir laissé les prophètes parler en son nom, c'est de toi la première qu'il a fait la louange : « Bienheureux les pauvres en esprit, car le Royaume des cieux est à eux ! » (Mt 5,3)

    Puis, lorsqu'il s'est choisi quelques amis comme ses témoins pour le salut de l'humanité, il n'a pas appelé de riches commerçants, mais des pêcheurs modestes, afin de montrer à tous combien l'estime qu'il te portait à toi, Dame Pauvreté, devait engendrer de l'amour pour toi. Finalement, comme s'il fallait une preuve éclatante et définitive de ta valeur, de ta noblesse, de ton courage, de ta prééminence sur les autres vertus, tu as été la seule à rester attachée au Roi de gloire alors que les amis qu'il s'était choisis l'avaient abandonné.

    Toi sa fidèle compagne, sa tendre amante, tu ne l'as pas quitté un instant ; tu t'es attachée même d'autant plus à lui que tu le voyais davantage et plus universellement méprisé... Toi seule, tu le consolais. Tu ne l'as pas quitté « jusqu'à la mort, à la mort sur une croix » (Ph 2,8), nu, les bras étendus, mains et pieds cloués..., si bien qu'il ne lui restait plus rien à montrer de sa gloire que toi.








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    Que Dieu donne à chacun(e) de quoi nourrir sa foi et son espérance , que Dieu souffle son esprit saint par Jésus ressuscité et nous serons des "lumière" les uns pour les autres- les uns avec les autres

     

     

    Dieu éternel et tout puissant,
    qui nous a créés à ton image,
    et qui nous invite à rechercher tout ce qui bon, vrai et beau,
    plus spécialement en la personne divine
    de ton Fils unique, notre Seigneur Jésus-Christ,
    nous te supplions de nous accorder,
    par l’intercession de Saint Isidore, évêque et docteur,
    qu’au cours de nos voyages à travers l’Internet
    nous dirigions nos mains et nos yeux
    seulement vers ce qui te plait
    et que nous traitions avec charité et patience
    toutes les âmes que nous rencontrons.
    Par Jésus, le Christ notre Seigneur.
    Auteur inconnu



    Amen


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