• . "C’est moi. Soyez sans crainte."

    Ils s’embarquèrent pour gagner Capharnaüm, sur l’autre rive. Déjà il faisait nuit, et Jésus ne les avait pas encore rejoints. Un grand vent se mit à souffler, et le lac devint houleux. Les disciples avaient ramé pendant cinq mille mètres environ, lorsqu’ils virent Jésus qui marchait sur la mer et se rapprochait de la barque. Alors, ils furent saisis de crainte. Mais il leur dit : « C’est moi. Soyez sans crainte. »

    Malgré l’obscurité, les vagues et la peur.

    . "C’est moi. Soyez sans crainte."

    Nous savons par un autre passage d’évangile que quand Jésus n’était pas avec ses disciples, il priait. Jésus les a jamais vraiment laissés seuls. À une autre occasion, il était dans leur barque mais il dormait. À cette occasion peut-être ils se sont demandés s’il les avait oubliés. Qu’est-ce qu’ils allaient devenir ? Bon nombre d’entre eux avaient passé une bonne partie de leurs vies sur la mer - périraient-ils maintenant ? Epuisés par la peur, les coups de vent et d’avoir ramé de toutes leurs forces, voir Jésus marcher sur l’eau ne les a pas réconforté. Comme les apôtres, nous pouvons nous sentir abandonnés et même en train de faire naufrage dans nos vies chrétiennes. Nous entendons souvent des remarques comme, "où était Dieu quand cette tragédie s’est produite ?" ou "comment est-ce que l’Eglise va survivre à ceci ?"

    "C’est moi. Soyez sans crainte."

    . "C’est moi. Soyez sans crainte."

    Jésus-Christ a construit son Eglise sur le roc contre lequel les puissances du mal ne prévaudront pas. Jésus a marché sur l’eau pour dire aux apôtres "qu’est-ce qu’il y a à craindre ? Ne suis-je pas au-dessus de tout ceci ?" Les apôtres voulaient la sécurité de l’avoir dans leur barque avec eux. Au milieu des orages - les persécutions, la médisance, les tentations, le mauvais exemple et le scandale - tous les éléments humains qui incitent l’Eglise et ses membres à souffrir — le Christ est présent et l’Eglise reste debout. Nous avons peu de foi si les circonstances difficiles nous font douter. Ce dont nous avons besoin est de plus de prière et de fidélité.

    . "C’est moi. Soyez sans crainte."

     Tenons  bon : comme Jésus a ramené le bateau des disciples à bon port Il fait de même pour l’Eglise aujourd'hui . L’évangile de Jean nous indique que le Christ savait par quoi ils allaient passer. Il a prié pour eux. Il a promis l’aide de l’Esprit Saint. Il leur a donné l’Eucharistie et leur a promis d’être avec eux jusqu’à la fin des temps. Il leur a donné sa mère. Souvent nous ne comprenons la signification des difficultés qu’après que nous soyons passés à travers elles. Est-ce que je réponds à la difficulté par la prière et une confiance accrue ? Des eaux agitées. Il y a des moments dans notre vie qui ressemble à ce récit : les eaux turbulentes, l’obscurité, et notre difficulté à progresser. Parfois notre âme est agitée par nos émotions, notre orgueil ou notre vanité. Nous perdons tout sens de direction et nous avons l’impression que tous nos efforts pour avancer sont futiles. Comment cela pourrait-il être autrement si le Christ n’est pas dans notre bateau ? Quand nous commençons à nous noyer dans le combat, nous devrions jeter un coup d’oeil à notre vie de prière. Là, peut-être, se trouve la réponse à certaines de nos difficultés.

    . "C’est moi. Soyez sans crainte."

     

    Au temps de l'angoisse regardons vers le Seigneur

     

    Magnifiez avec moi le Seigneur,
    exaltons tous ensemble son nom.
    Je cherche le Seigneur, il me répond :
    de toutes mes frayeurs, il me délivre.

     
    Qui regarde vers lui resplendira,
    sans ombre ni trouble au visage.
    Un pauvre crie ; le Seigneur entend :
    il le sauve de toutes ses angoisses.


    L'ange du Seigneur campe à l'entour
    pour libérer ceux qui le craignent.
    Goûtez et voyez : le Seigneur est bon !
    Heureux qui trouve en lui son refuge !


    Saints du Seigneur, adorez-le :
    rien ne manque à ceux qui le craignent.
    Des riches on tout perdu, ils ont faim ;
    qui cherche le Seigneur ne manquera d'aucun bien.


    Le Seigneur entend ceux qui l'appellent :
    de toutes leurs angoisses, il les délivre.
    Il est proche du coeur brisé,
    il sauve l'esprit abattu.

    (versets du Psaume 33) 

    Seigneur, je sais que tu ne me laisses jamais seule. J’ai confiance en ta promesse. Je crois que la vérité et la bonté régneront. Merci de rester avec moi toujours et de me conserver dans la bonne direction.Seigneur, aide-moi à ne pas être emporté par les eaux agitées de mon orgueil, ma vanité et ma sensualité. Quand je ne fais aucun progrès, qui d’autre dois-je blâmer que moi-même ? Pourtant je fais confiance à ta grande miséricorde. Ta présence divine me rassure. Seigneur, ne quitte jamais ma barque !



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    Lecture du livre d’Ézékiel (18, 25-28)
    Dieu nous appelle chaque jour à nous convertir


    Parole du Seigneur tout-puissant : Je ne désire pas la mort
    du méchant, et pourtant vous dites : « La conduite du
    Seigneur est étrange. »
    Écoutez donc, fils d’Israël : est-ce ma conduite qui est étrange ?
    N’est-ce pas plutôt la vôtre ? Si le juste se détourne de sa justice,
    se pervertit, et meurt dans cet état, c’est à cause de sa perversité
    qu’il mourra. Mais si le méchant se détourne de sa méchanceté
    pour pratiquer le droit et la justice, il sauvera sa vie. Parce qu’il
    a ouvert les yeux, parce qu’il s’est détourné de ses fautes, il ne
    mourra pas, il vivra.

    Psaume 24

    “Souviens-toi, Seigneur,de ton amour

    Seigneur, enseigne-moi tes voies,
    fais-moi connaître ta route.
    Dirige-moi par ta vérité, enseigne-moi,
    car tu es le Dieu qui me sauve.


    Rappelle-toi, Seigneur, ta tendresse,
    ton amour qui est de toujours.
    Oublie les révoltes, les péchés de ma jeunesse,
    dans ton amour, ne m’oublie pas.


    Il est droit, il est bon, le Seigneur,
    lui qui montre aux pécheurs le chemin.
    Sa justice dirige les humbles,
    il enseigne aux humbles son chemin.

    Lecture de la lettre de saint Paul Apôtre aux Philippiens (2, 1-11)
    (Lecture brève : 2, 1-5)
    L’unité dans l’amour à la suite du Christ
    Frères, s’il est vrai que dans le Christ on se réconforte les uns
    les autres, si l’on s’encourage dans l’amour, si l’on est en communion
    dans l’Esprit, si l’on a de la tendresse et de la pitié, alors,
    pour que ma joie soit complète, ayez les mêmes dispositions, le
    même amour, les mêmes sentiments ; recherchez l’unité. Ne soyez
    jamais intrigants ni vantards, mais ayez assez d’humilité pour estimer
    les autres supérieurs à vous-mêmes. Que chacun de vous ne
    soit pas préoccupé de lui-même, mais aussi des autres. Ayez entre
    vous les dispositions que l’on doit avoir dans le Christ Jésus :
    Fin de la lecture brève
    lui qui était dans la condition de Dieu, il n’a pas jugé bon de
    revendiquer son droit d’être traité à l’égal de Dieu ; mais au
    contraire, il se dépouilla lui-même en prenant la condition de
    serviteur. Devenu semblable aux hommes et reconnu comme
    un homme à son comportement, il s’est abaissé lui-même en
    devenant obéissant jusqu’à mourir, et à mourir sur une croix.
    C’est pourquoi Dieu l’a élevé au-dessus de tout ; il lui a conféré
    le Nom qui surpasse tous les noms, afin qu’au Nom de Jésus, aux
    cieux, sur terre et dans l’abîme, tout être vivant tombe à genoux,
    et que toute langue proclame : « Jésus Christ est le Seigneur »,
    pour la gloire de Dieu le Père.

    Acclamation de l’Évangile


    Alléluia. Alléluia. Aujourd’hui, ne fermez pas votre coeur, mais écoutez
    la voix du Seigneur. Alléluia.

    Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu (21, 28-32)
    Se convertir non en paroles, mais en actes
     


    Jésus disait aux chefs des prêtres et aux anciens : « Que
    pensez-vous de ceci ? Un homme avait deux fils. Il vint
    trouver le premier et lui dit : “Mon enfant, va travailler
    aujourd’hui à ma vigne.” Il répondit : “Je ne veux pas.” Mais
    ensuite, s’étant repenti, il y alla. Abordant le second, le père lui
    dit la même chose. Celui-ci répondit : “Oui, Seigneur !” et il
    n’y alla pas. Lequel des deux a fait la volonté du père ? » Ils lui
    répondent : « Le premier. » Jésus leur dit : « Amen, je vous le déclare : les publicains et les
    prostituées vous précèdent dans le royaume de Dieu. Car Jean
    Baptiste est venu à vous, vivant selon la justice, et vous n’avez
    pas cru à sa parole ; tandis que les publicains et les prostituées y
    ont cru. Mais vous, même après avoir vu cela, vous ne vous êtes
    pas repentis pour croire à sa parole. »

    @AELF

     Viens Esprit de lumière, viens Esprit de feu. Viens nous
    éclairer et nous embraser.


    En quelques mots, Paul rappelle la véritable identité de l’Église
    fondée en Christ. Une Église appelée à être l’icône de la
    Trinité,au sein de laquelle la vie et l’amour circulent, au sein de
    laquelle chacune des personnes se donne à l’autre. Mais l’Apôtre
    sait aussi que les communautés ecclésiales sont des réalités fragiles,
    menacées, exposées, non seulement de l’extérieur mais aussi de l’intérieur, par des rivalités,
    des conflits de pouvoir, des égoïsmes (voir Ac 11-12). Et Paul de proposer un remède dans
    la contemplation et l’imitation du Christ, lui qui a choisi de ne rien retenir de ses prérogatives
    divines et de se situer en Fils à l’écoute de la volonté de salut du Père sur l’humanité.

    Le temps de la méditation
    N’occultons pas nos réactions spontanées à l’ensemble de ce texte, qu’elles soient positives
    ou négatives. Essayons de faire le tri dans ce que nous ressentons :
    réactions d’ordre épidermique, ou plus profondes quant à notre
    vécu en Église. L’unité fait-elle sens pour nous et comment ? La
    concevons-nous sur un mode fusionnel ou dans le respect de la
    différence de l’autre ? Le mystère trinitaire est-il pour nous une
    référence ? Peut-être avons-nous tendance à nous méfier de tout
    appel à l’humilité quand il s’agit de fonctionnement communautaire
    ? Alors prenons le temps de creuser cette réalité en lisant
    l’un ou l’autre évangile pour voir comment l’homme Jésus l’a
    incarnée au fil des jours dans sa relation au Père, aux autorités
    religieuses de son temps, à ses semblables. Rappelons-nous que
    l’humilité a, pour chacun, à voir avec sa vérité – qui est d’être
    tout à la fois créé à l’image de Dieu, habité par l’Esprit
    de sainteté, et limité, blessé par la vie et le péché, et donc en chemin.

    Le temps de la prière
    Tu es béni Seigneur, apprendsmoi tes volontés.


    Soeur Emmanuelle Billoteau,
    ermite bénédictine

    prions.bayardcdn.com/

     

    L'ÉVANGILE D'AUJOURD'HUI DIT...
    Que Jésus raconte la Parabole des deux fils...

    Nous approchons de plus en plus de la fin de la vie publique de Jésus et nous sentons toutes les tensions qui accompagnent sa Parole ainsi que ses allées et venues... IL est épié et on cherche à s'en débarrasser, IL est devenu GÊNANT... Mais, Jésus veut qu'on sache bien que c'est librement qu'IL donne sa vie.

    L'ÉVANGILE D'AUJOURD'HUI NOUS DIT... ME DIT...
    Que bien des contradictions s'affrontent en nous...

    Nous sommes à la fois les deux fils, celui qui veut et celui qui ne veut pas... Nos moments d'adhésion fervente à la Volonté du Père sont suivis de près par des moments d'indifférence sinon de révolte. Nos OUI et nos NON se croisent en nous et c'est pourquoi nous sommes parfois imprévisibles. Mais le Seigneur connaît le fond de notre coeur et notre faiblesse innée. IL nous donne toujours le temps de nous reprendre et de poser un OUI sur notre NON précédent. Nous, les Humains, nous sommes comme l'herbe qui change, mais le Seigneur, LUI, ne change pas et son Alliance est de toujours à toujours. Il ne nous lâche jamais tant que nous ne le mettons pas de côté. Aux yeux de Dieu, personne n'est PÉCHEUR définitivement. Souvent, hélas ! nous faisons un mauvais accueil, la sourde oreille aux appels de l'ESPRIT SAINT en nous... Dans un retour sur nous-mêmes, demandons-nous quelle est notre fidélité devant les appels du Seigneur...

    L'ÉVANGILE NOUS DEMANDE... ME DEMANDE..
    D'éveiller en nous la conscience que nous sommes au service du Seigneur, notre CRÉATEUR.

    Il y a en nous QUELQU'UN que nous ne connaissons pas et à qui nous ne pensons que très rarement... Jésus nous interpelle aujourd'hui : Reconnaissons que le NON est bien plus près de notre coeur que le OUI devant les exigences de la vie chrétienne et que nous sommes PÉCHEURS. Pensons-nous que nous sommes habités par la TRINITÉ SAINTE ?... Sommes-nous dans notre milieu une Présence chrétienne ???...

    L'ÉVANGILE D'AUJOURD'HUI DIT...
    Que le premier fils dit NON, mais se repent tandis que le second dit OUI, mais n'en fait rien...

    Après un premier mouvement négatif, le premier fils se rend accomplir la tâche demandée... Il ne faut pas juger ce premier mouvement, mais continuer d'espérer le meilleur par une reprise... Tandis que le second est tout accueil à la Volonté du Père mais recule devant les premières difficultés et n'accomplit pas la Volonté du Père... Impossible de JUGER car rien n'est jamais définitif...

    L'ÉVANGILE D'AUJOURD'HUI NOUS DIT... ME DIT...
    Qu'il ne suffit pas d'avoir une bonne intention...
    Les bonnes intentions sont stériles en elles-mêmes et on a bien dit que l'enfer est pavé de bonnes intentions. Le second fils qui nous semble si accueillant à l'appel de son Père nous fait penser à la semence qui est tombée sur le chemin et qui a été dévorée par les oiseaux. Même s'il semble vouloir réaliser le plan de son Père, il ne passe pas à l'ACTION... Ne nous reconnaissons-nous pas dans ce second fils ??? Que de fois, à l'occasion d'une Journée de ressourcement, d'un sermon, d'une rencontre, nous avons pris de bonnes résolutions qui se sont évanouies comme la rosée du matin... Combien ont déclaré solennellement qu'ils se mettaient dans la bonne direction et sont encore dans les ornières de la routine... Ce second fils a de nombreux frères et de nombreuses soeurs sur la terre des humains...

    L'ÉVANGILE NOUS DEMANDE... ME DEMANDE...
    De ne jamais JUGER les autres...

    Il nous manque tellement de données pour poser un JUGEMENT. Aux yeux de Dieu, personne n'est définitivement PÉCHEUR et IL nous voit tous tels que nous serons dans notre dernier accomplissement, à la fin de la "dernière Heure"... Qu'avons-nous à nous inquiéter et à juger les Jeunes... les hors-la-loi de Dieu... Nous sommes des gens de peu de FOI et qui nous dit que ceux qui semblent dans le mauvais chemin, ne nous précéderont pas dans le Royaume ?...

    SEIGNEUR,
    garde-moi dans ta vérité.

    Que mes paroles ne dépassent jamais mes actes
    qu'elles ne soient pas de beaux discours
    qui n'ont aucune racine dans ma vie
    et qui demeurent stériles,
    sans efficacité...

    Garde-moi de la présomption
    et de la vaine gloire,
    de la tentation de me croire supérieur
    alors que je tiens tout de TOI
    et que tu me fais la grâce de Te servir...

     

    Apprends-moi à être doux et humble
    afin de devenir serviteur de mes frères...

    Donne-moi un coeur simple
    qui ne se décourage pas de ses fautes
    et ne s'éloigne jamais de ta Miséricorde...

     

    Fais-moi goûter la joie du repentir
    afin que, voyant mon incapacité au bien,
    loin de me refermer sur moi-même
    à contempler ma misère,
    je me tourne vers TOI
    pour recevoir la force
    et le bonheur d'accomplir ta sainte Volonté.

    (D'après EPHATA)

    cursillos.ca

     

    26e dimanche du temps ordinaire

     

    Pour plaire au Seigneur, il importe d’accomplir sa volonté. Tournons-nous vers lui avec confiance pour lui présenter les besoins et les attentes de tous les humains.

     

    26e dimanche du temps ordinaire

     

    — Prions pour ceux et celles qui occupent des postes de responsabilité dans la société; que chacun et chacune soit à l’écoute du Seigneur qui parle à leur cœur.

     

    — Prions pour l’Église universelle du Christ; qu’elle soit sans cesse attentive aux voies du Seigneur, comme le Christ son maître l’a été.

     

    — Prions pour les gens qui portent des souffrances de toutes sortes; qu’ils fassent l’expérience de l’abandon dans les mains du Père.

     

    — Prions pour notre communauté; qu’elle témoigne, par son exemple, de son écoute des volontés du Père.

     

    Père de bonté, ton Fils Jésus nous sert de modèle pour mieux suivre tes volontés. Que son exemple nous anime davantage chaque jour; que sa vie nous serve de guide. Et que son Esprit soit notre force pour que nous puissions toujours suivre ses voies, même quand c’est difficile. Nous te le demandons par le Christ notre Seigneur. Amen.

    vieliturgique.ca

    26e dimanche du temps ordinaire

     

    Répondre à Dieu aujourd’hui

    26e dimanche du temps ordinaire

     

    Mon fils, va aujourd’hui, travailler à ma vigne. 

     

    Avec quelle douceur le Père lui avait donné cet ordre. « Mon fils » lui avait-il dit. Cet ordre venait de l’amour. Il lui demandait de travailler seulement « aujourd’hui ». Aujourd’hui ! C’est un temps bien court. La vie présente  n’a que la durée d’un jour et c’est un temps bien court. (St Hieron)

     

    26e dimanche du temps ordinaire« Je ne veux pas »

     

    Nombreux sont ceux qui font cette réponse à Dieu; Nous pourrions dire que c’est là le premier mouvement de l’humanité devant  la volonté de Dieu.

     

    Ensuite, pris de repentir, il y alla.

     

    Ce fils a regretté ce qu’il avait dit et a admis son erreur, sans excuse. Il a  changé d’avis. Le sens du mot grec employé pour la « repentance » signifie, « retournement » . Le fils s’est retourné vers le Père  pour lui obéir.

     

    Et le Père s’adressant à l’autre, lui dit la même chose. Celui-ci lui répondit: j’y vais, Seigneur. Et il n’y alla point.

     

    Il y aura toujours des personnes qui  promettront tout à Dieu et ne feront rien. ils parleront à Dieu avec grand respect et lui diront non pas seulement « j’irai » mais « j’y vais » et n’iront pas. Cette piète stérile est dangereuse parce qu’elle se fait illusion à elle-même.

     

    26e dimanche du temps ordinaireDes   » OUI  » et des   » NON   »en nous

     

    « Nos moments d’adhésion ferventes à la volonté du Père, sont suivis de près par des moments  d’indifférence, sinon de révolte. Nos « OUI » et nos « NON « se croisent en nous et c’est pourquoi nous sommes parfois imprévisibles. Mais le Seigneur connaît le fond de notre coeur et notre faiblesse innée. Il nous donne le temps de nous reprendre et de poser un OUI sur notre NON précédent. » (Cursillos)

     

    26e dimanche du temps ordinaire« Tout ce que Dieu nous dira, nous le ferons »
    Ex 24,9

    viecontemplative.saintefamille.fr


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