• Seigneur Jésus Christ, dans cet admirable sacrement tu nous as laissé le mémorial de ta passion ;

    donne-nous de vénérer d’un si grand amour les mystères de ton corps et de ton sang, que nous puissions recueillir sans cesse le fruit de la rédemption.

    Toi qui vis et règnes pour les siècles des siècles. Amen.

    Réconforte-nous, console-nous,
    fortifie-nous dans l’espérance
    et donne-nous la sagesse et le courage de travailler inlassablement pour un monde où règnent la paix et l’amour véritables, dans les Nations et dans le cœur de chacun.

    Dieu de paix,
    apporte ta paix à  notre monde violent : paix dans le cœur de tous les hommes et de toutes les femmes
    et paix aux Nations de la terre.

    Jean-Paul II, à Ground Zero, avril 2008


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  • Toute ma vie je chanterai Ton Nom Seigneur
    Toute ma vie je chanterai Ton Nom.

    Que Ton règne arrive au ciel et sur la terre
    Que chacun soit dans l'amour sa vie entière.

    Et du mal du mal de la faim de la guerre
    Et du mal Seigneur délivre notre terre.

    Ton amour qui chaque jour notre pain nous donne
    Ton amour et ta bonté qui nous pardonne.


    Il m
    ’arrive, quand je suis profondément découragée et triste, d’ouvrir mon recueil de cantiques et d’entonner des chants qui m’encouragent à me confier en Jésus et à me reposer sur lui. Parfois, je pleure tellement que les mots n’arrivent pas à sortir. Mais petit à petit, je sens mon cœur et mon esprit revenir à Dieu, à sa bonté et à son amour. Alors, systématiquement, le nuage commence à s’éloigner.

    En fait, je chante jusqu’à ce qu’il soit tout à fait parti.

    [Nancy DeMoss]


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  • Dieu a visité son peupleLc 7, 11-17 : « ... et Dieu a visité son peuple. » Jésus voit la mère et il est ému. Luc écrit Le Seigneur fut pris aux entrailles. Comment mieux dire les choses en aussi peu de mots ? En langage biblique, les entrailles sont le siège des émotions profondes. Jésus entre en résonance avec celle qui a perdu l’unique fruit de ses entrailles. Il voit l’injustice qui lui est faite. Il est ému jusqu’au plus profond de lui même. L’émotion de Jésus n’est pas feinte. Il est pleinement l’un des nôtres, « vrai homme » dira le credo.

    Mais il est également le Seigneur. Ce mot a un sens royal. Aux portes de Naïn, le Seigneur Jésus se comporte de façon souveraine. Il s’avance et bloque le convoi de mort. Sa parole est nette, précise, efficace, immédiatement exécutée. La mort lâche sa proie et le Seigneur Jésus peut rendre à une mère ce qui lui a été volé. Jésus, le vrai roi d’Israël, a rendu la justice. En sa personne, Dieu est venu visiter son peuple.

    Tu continues à visiter ton peuple Seigneur, mais ouvre nos yeux fatigués par tant de choses qui nous fascinent et rends-les capables de discerner ta présence.


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