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    La Joie de Dieu


    La Joie de Dieu : Aujourd'hui nous est offerte en lecture la parabole de la brebis perdue et retrouvée. Le texte se conclut dans la joie du ciel. Nous sommes invités à cette joie, qui est l'allégresse de Dieu lui-Même. Cette exultation du Seigneur provient de ses retrouvailles avec la brebis égarée. Comme c'est beau! Chaque fois que nous revenons vers Dieu, chaque fois que notre coeur se tourne vers lui après la faute, chaque fois que nous demandons la Miséricorde dans le sacrement du pardon, nous mettons le coeur de Dieu dans une joie inexprimable. Oh si nous savions combien notre retour à Dieu, pauvres que nous sommes, est capable de toucher le coeur du Père ! Oui, si nous savions vraiment, nous cesserions de tergiverser, et nous nous précipiterions sur le premier prêtre venu pour lui demander l'absolution de nos fautes! Seigneur, donne moi en ce jour de comprendre un peu mieux combien tu m'aimes ! (JV)


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  •               Reconnaissons-nous bien petits devant tout l'amour que Dieu nous porte...

            - Seigneur, lorsque nous te suivons, ce n'est pas toujours "portés par l'amour". 
            -  Ô Christ, tes commandements, parfois nous choisissons de les oublier . 
            -  Seigneur, nous sommes remplis de faiblesse, mais pour nous tu t'es offert. 

                    Que Dieu tout-puissant, qui veut longue vie pour nous, nous fasse miséricorde, qu'il nous pardonne nos cours parfois trop durs, qu'il nous conduise - par les chemins de l'amour - à la vie éternelle. AMEN !


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  • Si Dieu nous commande d'aimer, c'est pour nous ouvrir un avenir.        Nous pensons que l'amour ne "se commande" pas, que c'est un élan du coeur. Eh bien, aujourd'hui, la Parole de Dieu nous rappelle quelque chose d'important, au delà de l'élan spontané du cour, l'amour fait une place à la volonté. Même chez Jésus !
            Quand je n'éprouve pas pour l'autre de tendresse, d'admiration, je suis appelé à faire preuve à son égard d'attention, de respect. Je suis appelé à dépasser l'indifférence ou la répulsion que je peux éprouver à son égard pour travailler à son bien. Peut-être nous laissons-nous trop conduire par nos sentiments : Dieu nous invite à les dépasser. Ce n'est qu'ainsi que le monde pourra avancer.
            Au-delà du commandement, Jésus veut nous révéler que notre capacité à aimer, à travailler pour le bien de l'autre, à nous oublier nous-mêmes, est sans limites. Nous n'avons pas encore montré de quel amour nous étions capables ! Nous n'avons pas encore découvert de quel amour nous étions capables !
           
     C'est justement quand aimer n'est pas évident que tous les gestes que nous pouvons faire en direction de l'autre deviennent ferment d'un monde nouveau et ouvrent un avenir qui pouvait sembler bien bouché. Si Dieu nous commande d'aimer, c'est simplement pour nous ouvrir un avenir.
          .  Aimer le Seigneur fait l'objet d'un commandement, parce que l'amour du Seigneur n'est pas l'affaire "d'attirance naturelle", mais de choix. On ne va pas à la prière "quand on en a envie", mais parce que Dieu est Dieu et qu'on sait, quelque part au fond de nous-mêmes, qu'il est notre avenir. L'écarter de ma vie, c'est me fermer cet avenir

     Aimer c'est respecter, écouter et servir même si au fond du cour "ce n'est pas la fête", car aimer n'est pas qu'affaire de cour : c'est aussi affaire de volonté.
     


    (source le net)


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